"Grâce aux bougies Machin, à tétra-électrode de masse en chromium-tungstène, gagnez plus de couple et de puissance et montez plus facilement vos jantes larges ! "… On caricature un peu, mais c'est quasiment en ces termes que les fabricants de bougies vendent leurs produits.
Alors qu'en est-il ?
- La bougie joue un rôle déterminant dans la puissance d'allumage et la qualité de la combustion. Sous des conditions sévères de température et de pression, elle doit se montrer parfaitement isolante et conduire jusqu'à ses électrodes une tension pouvant atteindre 30 000 volts.
- Pour un rendement optimal, la température de l'extrémité du bec isolateur de l'électrode centrale ne devrait pas dépasser 850 °C à plein régime et forte charge sous peine de provoquer le pré-allumage et ne pas descendre sous les 400 °C qui favorisent l'encrassement et les ratés d'allumage. On parle de " gamme thermique " de bougies " chaudes " ou " froides ".
- Une bougie chaude se caractérise par un bec d'isolant long. La chaleur s'évacue donc plus lentement jusqu'au culot, on les utilise pour des températures de chambres relativement basses, c'est à dire pour des moteurs de puissances faible à moyenne. - Au contraire une bougie froide possède un bec court qui évacue rapidement les calories. Elles conviennent particulièrement aux moteurs à haut rendement, à fort taux de compression.
Test : un moteur de clito 16S - Les mesures obtenues font apparaître une différence de 7 chevaux sur la puissance maximale disponible suivant le type de bougies montées sur le moteur.
La constatation est claire :
- La bougie joue un rôle déterminant sur la combustion. Cependant s'il apparaît qu'une bougie ne permettra pas de gagner des chevaux supplémentaires, elle peut en revanche en faire perdre.
- Choisissez des bougies de compétition à indices froids (la plupart du temps) si votre moteur est poussé. Sinon sachez que des bougies d'origine Bosch ou autres marques donnent un bon résultat avec un petit plus pour les bougies sans électrodes
Alors qu'en est-il ?
- La bougie joue un rôle déterminant dans la puissance d'allumage et la qualité de la combustion. Sous des conditions sévères de température et de pression, elle doit se montrer parfaitement isolante et conduire jusqu'à ses électrodes une tension pouvant atteindre 30 000 volts.
- Pour un rendement optimal, la température de l'extrémité du bec isolateur de l'électrode centrale ne devrait pas dépasser 850 °C à plein régime et forte charge sous peine de provoquer le pré-allumage et ne pas descendre sous les 400 °C qui favorisent l'encrassement et les ratés d'allumage. On parle de " gamme thermique " de bougies " chaudes " ou " froides ".
- Une bougie chaude se caractérise par un bec d'isolant long. La chaleur s'évacue donc plus lentement jusqu'au culot, on les utilise pour des températures de chambres relativement basses, c'est à dire pour des moteurs de puissances faible à moyenne. - Au contraire une bougie froide possède un bec court qui évacue rapidement les calories. Elles conviennent particulièrement aux moteurs à haut rendement, à fort taux de compression.
Test : un moteur de clito 16S - Les mesures obtenues font apparaître une différence de 7 chevaux sur la puissance maximale disponible suivant le type de bougies montées sur le moteur.
La constatation est claire :
- La bougie joue un rôle déterminant sur la combustion. Cependant s'il apparaît qu'une bougie ne permettra pas de gagner des chevaux supplémentaires, elle peut en revanche en faire perdre.
- Choisissez des bougies de compétition à indices froids (la plupart du temps) si votre moteur est poussé. Sinon sachez que des bougies d'origine Bosch ou autres marques donnent un bon résultat avec un petit plus pour les bougies sans électrodes
